|
1802 - 1923 Installée au Palais Royal a été crée en 1804 par la veuve Desarmaud qui fut la première commerçante de son époque à proposer des pendules, candélabres et vases d'ornement associant le cristal taillé et le bronze doré. Son entreprise avait une bonne notoriété car les objets qu'on trouvaient "à l'escalier de cristal", étaient poussés à haut degré de perfection.
Puis Pierre-isidore Lahoche acquit le magasin en 1847. Plusieurs fois primé aux différentes expositions, l'escalier de cristal devient une maison prestigieuse qui attire une clientèle d'amateurs fortunés du monde entier. Émile Panier, propriétaire de l'entreprise en 1872, agrandit le magasin en déménageant dans le même immeuble que le grand hôtel du nouvel opéra. C'est à ce moment là que l'on voit apparaître "à l'escalier de cristal" les premiers meubles, qui sont des reproductions d'anciens, des compositions (pastiches librement interprétés des arts décoratifs du XVIIIème siècle) ainsi qu'une production de pendules et garnitures de cheminée.
C'est à ses fils vers 1885 que reviennent l'initiative de créer un département japonisant très à la mode à cette époque. Pour cela, ils vont s'offrir les services de grands noms des arts décoratifs comme Edouart Lièvre, Gabriel Viardot ainsi que Louis Majorelle, Eugene Rousseau ou encore emile Gallé, qui leurs fourniront quelques-unes de leurs somptueuses réalisations, spécialement crées pour " l'escalier de cristal". Jusqu'en 1923 (la date de la fermeture definitive du magasin), les frères Panier remporteront de multiples récompenses et médailles d'or aux expositions nationales, internationales et aux expositions universelles.
La maison Escalier de Cristal se crée une réputation par l’innovation proposée par la veuve Desarmaud : l’association du cristal et du bronze dans un même objet. Elle gagne pour cette innovation la médaille d’or à l’Exposition des produits de l’Industrie Française en 1819, puis sombre peu à peu dans l’oubli après la mort de sa fondatrice. Il faut attendre 1844 et le départ de Boin pour que la maison retrouve le faste de ses débuts : Lahoche fait paraitre la première publication officielle de ses œuvres.
L’enseigne est déménagée en 1840 aux 162-164 galeries de Valois. Dés lors il n’y aura plus une seule exposition dont la maison sortira sans médaille. La maison s’attire les louanges des critiques qui relèvent son luxe et son élégance parisienne. Des artistes comme Emile Gallé accorde à l’Escalier de Cristal leur exclusivité (son motif herbier) car il considère la boutique comme « une exposition permanente d’art » Il faut savoir qu’avant sa reprise par Lahoche&Pannier, la maison « Escalier de Cristal » est spécialisée dans l’art de la table, les objets décoratifs en porcelaine et en bronze. Elle fabrique quelques meubles permettant la démonstration de sa spécialité première : l’alliagedu cristal et du bronze. C’est à l’initiative des frères Pannier qu’elle doit sa réussite dans l’ameublement. Leur père avait déménagé la boutique en 1872 prés de l’opéra, un transfert qui suit le mouvement général des grands négociants qui quittent le Palais Royal pour des quartiers plus jeunes, plus riches. C’est à ce moment là que l’on voit apparaître à l’Escalier de Cristal les premiers meubles, qui sont des reproductions d’anciens, des pastiches librement interprétés des créations du XVIIIème siècle. Mais les frères Pannier sentent le besoin de changements et décident de diversifier la production de la maison, il est alors nécessaire de nouer des liens avec de nouveaux corps de métiers et d’assurer une production parfaite. En cela, la maison ne sera pas présente à l’Exposition Universelle de 1889 car elle peaufine ses futures créations. La première exposition d’ameublement qu’elle présentera est intimiste : elle se déroule en décembre 1894 dans la galerie Georges Petit, composée de créations japonisantes qui sont montrées au public et illustrent la nouvelle orientation de la maison. Surfant sur la vague du japonisme dont la société française raffole, les frères Pannier s’assurent une réputation de maison innovante et à la mode. On entendra que « les modèles sont toujours particulièrement bien choisis, le goût distingué et l’exécution parfaite »
Pour cette nouvelle branche de production, Escalier de Cristal s’assure le travail de fournisseurs de pointe : Viardot (1830-1906 ) est un des premiers à adapter le style asiatique au gout européen. Au lieu de reproduire des pastiches de meubles traditionnels japonais, il reprend des créations déjà existantes de la maison et les « japonisent ». Il rajoute sur des meubles des panneaux laqués venant d’extreme-orient et de la nacre de Tonkin.
Les frères Pannier s’associent également avec la maison Majorelle de Nancy dont le fondateur avait breveté en 1878 la décoration de meubles en laque avec des incrustations de faïence.
Un même modèle passe par différents corps de métier, tous tenus par des artisans très prisés de l’époque. La présence de tous ces intervenants est utile pour la datation des pièces puisqu’elles correspondent à des périodes de collaborations. On notera la participation de Kroeller, Fetu, Lievaux, Thomassins, Shaal…
C'est à ses fils vers 1885 que reviennent l'initiative de créer un département japonisant très à la mode à cette époque. Pour cela, ils vont s'offrir les services de grands noms des arts décoratifs comme Edouart Lièvre, Gabriel Viardot ainsi que Louis Majorelle, Eugene Rousseau ou encore emile Gallé, qui leurs fourniront quelques-unes de leurs somptueuses réalisations, spécialement crées pour " l'escalier de cristal". Jusqu'en 1923 (la date de la fermeture definitive du magasin), les frères Panier remporteront de multiples récompenses et médailles d'or aux expositions nationales, internationales et aux expositions universelles.
Le japonisme très en vogue à Paris, l’Escalier de Cristal propose à des collectionneurs avertis, des objets de qualité, des modèles recherchés qui sont novateurs par le mélange qu’ils offrent : de l’orient dans des meubles occidentaux. Il n’y a pas de pastiche asiatique, la maison crée « délibérément un orient imaginaire mais selon des modèles occidentaux » elle se dote d’un éclectisme qui sait choisir et transposer avec une grande liberté. Escalier de Cristal n’a pas le souci de représenter l’essence japonaise mais celui de fabriquer, tout simplement, un bel objet. Les emprunts faits à une civilisation exotique n’ont qu’une valeur décorative et pittoresque.
L’ESCALIER DE CRISTAL participe ainsi grandement à la diffusion du goût pour l’Extrême Orient en Europe et est présent dans de nombreuses expositions, notamment à l’Exposition Universelle de 1851 à Londres au Crystal Palace. En 1853, L’ESCALIER DE CRISTAL reçoit une médaille d’argent pour les expositions de New York et de Paris et c’est en 1900, lors de l’Exposition Universelle, à Paris, que cette maison reçoit une médaille d’or.
- Vous possédez une sculpture, un objet d'art de la maison L'escalier de Cristal et vous cherchez à en connaître la valeur ?
- Vous souhaitez vendre un vase , un meuble de L'escalier de Cristal ?
- Bordeaux expertises et son équipe d'experts et de spécialistes vous proposent une expertise et une estimation gratuite de votre objet d'art de L'escalier de Cristal en toute confidentialité.
- Après évaluation, nous vous proposerons une solution adaptée pour vendre vos tableaux, vos sculptures et vos objets d’art dans les meilleures conditions.
copyright©Cabinet A.Marechal
|
|
1802 - 1923 |
Installée au Palais Royal a été crée en 1804 par la veuve Desarmaud qui fut la première commerçante de son époque à proposer des pendules, candélabres et vases d'ornement associant le cristal taillé et le bronze doré. Son entreprise avait une bonne notoriété car les objets qu'on trouvaient "à l'escalier de cristal", étaient poussés à haut degré de perfection.
Puis Pierre-isidore Lahoche acquit le magasin en 1847. Plusieurs fois primé aux différentes expositions, l'escalier de cristal devient une maison prestigieuse qui attire une clientèle d'amateurs fortunés du monde entier. Émile Panier, propriétaire de l'entreprise en 1872, agrandit le magasin en déménageant dans le même immeuble que le grand hôtel du nouvel opéra. C'est à ce moment là que l'on voit apparaître "à l'escalier de cristal" les premiers meubles, qui sont des reproductions d'anciens, des compositions (pastiches librement interprétés des arts décoratifs du XVIIIème siècle) ainsi qu'une production de pendules et garnitures de cheminée.
C'est à ses fils vers 1885 que reviennent l'initiative de créer un département japonisant très à la mode à cette époque. Pour cela, ils vont s'offrir les services de grands noms des arts décoratifs comme Edouart Lièvre, Gabriel Viardot ainsi que Louis Majorelle, Eugene Rousseau ou encore emile Gallé, qui leurs fourniront quelques-unes de leurs somptueuses réalisations, spécialement crées pour " l'escalier de cristal". Jusqu'en 1923 (la date de la fermeture definitive du magasin), les frères Panier remporteront de multiples récompenses et médailles d'or aux expositions nationales, internationales et aux expositions universelles.
La maison Escalier de Cristal se crée une réputation par l’innovation proposée par la veuve Desarmaud : l’association du cristal et du bronze dans un même objet. Elle gagne pour cette innovation la médaille d’or à l’Exposition des produits de l’Industrie Française en 1819, puis sombre peu à peu dans l’oubli après la mort de sa fondatrice. Il faut attendre 1844 et le départ de Boin pour que la maison retrouve le faste de ses débuts : Lahoche fait paraitre la première publication officielle de ses œuvres.
L’enseigne est déménagée en 1840 aux 162-164 galeries de Valois. Dés lors il n’y aura plus une seule exposition dont la maison sortira sans médaille. La maison s’attire les louanges des critiques qui relèvent son luxe et son élégance parisienne. Des artistes comme Emile Gallé accorde à l’Escalier de Cristal leur exclusivité (son motif herbier) car il considère la boutique comme « une exposition permanente d’art » Il faut savoir qu’avant sa reprise par Lahoche&Pannier, la maison « Escalier de Cristal » est spécialisée dans l’art de la table, les objets décoratifs en porcelaine et en bronze. Elle fabrique quelques meubles permettant la démonstration de sa spécialité première : l’alliagedu cristal et du bronze. C’est à l’initiative des frères Pannier qu’elle doit sa réussite dans l’ameublement. Leur père avait déménagé la boutique en 1872 prés de l’opéra, un transfert qui suit le mouvement général des grands négociants qui quittent le Palais Royal pour des quartiers plus jeunes, plus riches. C’est à ce moment là que l’on voit apparaître à l’Escalier de Cristal les premiers meubles, qui sont des reproductions d’anciens, des pastiches librement interprétés des créations du XVIIIème siècle. Mais les frères Pannier sentent le besoin de changements et décident de diversifier la production de la maison, il est alors nécessaire de nouer des liens avec de nouveaux corps de métiers et d’assurer une production parfaite. En cela, la maison ne sera pas présente à l’Exposition Universelle de 1889 car elle peaufine ses futures créations. La première exposition d’ameublement qu’elle présentera est intimiste : elle se déroule en décembre 1894 dans la galerie Georges Petit, composée de créations japonisantes qui sont montrées au public et illustrent la nouvelle orientation de la maison. Surfant sur la vague du japonisme dont la société française raffole, les frères Pannier s’assurent une réputation de maison innovante et à la mode. On entendra que « les modèles sont toujours particulièrement bien choisis, le goût distingué et l’exécution parfaite »
Pour cette nouvelle branche de production, Escalier de Cristal s’assure le travail de fournisseurs de pointe : Viardot (1830-1906 ) est un des premiers à adapter le style asiatique au gout européen. Au lieu de reproduire des pastiches de meubles traditionnels japonais, il reprend des créations déjà existantes de la maison et les « japonisent ». Il rajoute sur des meubles des panneaux laqués venant d’extreme-orient et de la nacre de Tonkin.
Les frères Pannier s’associent également avec la maison Majorelle de Nancy dont le fondateur avait breveté en 1878 la décoration de meubles en laque avec des incrustations de faïence.
Un même modèle passe par différents corps de métier, tous tenus par des artisans très prisés de l’époque. La présence de tous ces intervenants est utile pour la datation des pièces puisqu’elles correspondent à des périodes de collaborations. On notera la participation de Kroeller, Fetu, Lievaux, Thomassins, Shaal…
C'est à ses fils vers 1885 que reviennent l'initiative de créer un département japonisant très à la mode à cette époque. Pour cela, ils vont s'offrir les services de grands noms des arts décoratifs comme Edouart Lièvre, Gabriel Viardot ainsi que Louis Majorelle, Eugene Rousseau ou encore emile Gallé, qui leurs fourniront quelques-unes de leurs somptueuses réalisations, spécialement crées pour " l'escalier de cristal". Jusqu'en 1923 (la date de la fermeture definitive du magasin), les frères Panier remporteront de multiples récompenses et médailles d'or aux expositions nationales, internationales et aux expositions universelles.
Le japonisme très en vogue à Paris, l’Escalier de Cristal propose à des collectionneurs avertis, des objets de qualité, des modèles recherchés qui sont novateurs par le mélange qu’ils offrent : de l’orient dans des meubles occidentaux. Il n’y a pas de pastiche asiatique, la maison crée « délibérément un orient imaginaire mais selon des modèles occidentaux » elle se dote d’un éclectisme qui sait choisir et transposer avec une grande liberté. Escalier de Cristal n’a pas le souci de représenter l’essence japonaise mais celui de fabriquer, tout simplement, un bel objet. Les emprunts faits à une civilisation exotique n’ont qu’une valeur décorative et pittoresque.
L’ESCALIER DE CRISTAL participe ainsi grandement à la diffusion du goût pour l’Extrême Orient en Europe et est présent dans de nombreuses expositions, notamment à l’Exposition Universelle de 1851 à Londres au Crystal Palace. En 1853, L’ESCALIER DE CRISTAL reçoit une médaille d’argent pour les expositions de New York et de Paris et c’est en 1900, lors de l’Exposition Universelle, à Paris, que cette maison reçoit une médaille d’or.
- Vous possédez une sculpture, un objet d'art de la maison L'escalier de Cristal et vous cherchez à en connaître la valeur ?
- Vous souhaitez vendre un vase , un meuble de L'escalier de Cristal ?
- Bordeaux expertises et son équipe d'experts et de spécialistes vous proposent une expertise et une estimation gratuite de votre objet d'art de L'escalier de Cristal en toute confidentialité.
- Après évaluation, nous vous proposerons une solution adaptée pour vendre vos tableaux, vos sculptures et vos objets d’art dans les meilleures conditions.
copyright©Cabinet A.Marechal |
|
|
POURQUOI
FAIRE APPEL À NOS EXPERTS ?
|
|
Une réponse
immédiate à vos demandes.
Une présence dans votre région.
Un service d'expertise gratuit et personnalisé.
La possibilité d'un déplacement
à domicile. |
|
LES
+ DE LA VENTE AUX ENCHÈRES
|
|
Bénéficiez
d'un important fichier de collectionneurs nationaux
et internationaux, par spécialité.
Vente en live auction et catalogue de vente
en ligne sur interencheres.com,
auction.fr
et gazette-drouot.com.
Rédaction et édition d'un catalogue
de vente dans lequel vos oeuvres seront reproduites.
Accompagnement juridique et fiscal inclus.
|
|
DEMANDER
UNE EXPERTISE GRATUITE
|
|
|
|
|
|
|
|
|
POURQUOI
FAIRE APPEL À NOS EXPERTS ?
|
|
Une réponse
immédiate à vos demandes.
Une présence dans votre région.
Un service d'expertise gratuit et personnalisé.
La possibilité d'un déplacement
à domicile. |
|
LES
+ DE LA VENTE AUX ENCHÈRES
|
|
Bénéficiez
d'un important fichier de collectionneurs nationaux
et internationaux, par spécialité.
Vente en live auction et catalogue de vente
en ligne sur interencheres.com,
auction.fr
et gazette-drouot.com.
Rédaction et édition d'un catalogue
de vente dans lequel vos oeuvres seront reproduites.
Accompagnement juridique et fiscal inclus.
|
|
DEMANDER
UNE EXPERTISE GRATUITE
|
|
|
|
|
|
|
|
Ces spécialités
pourraient vous intéresser :
|
|
|
Arts décoratifs du XXème |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Antiquités et Objets d’art |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Gravures et lithographies |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Verrerie Lalique Daum Gallé |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Gravures et lithographies |
|
|
|
|
|
Antiquités et Objets d’art |
|
|
|
|
|
Mobilier design (1950-1970) |
|
|
|
|
|
|
|
Comment faire estimer gratuitement une peinture ancienne, une sculpture, des objets d'art à Paris ?
Artexpertise Paris est le leader reconnu en France dans l'expertise en ligne de tableaux depuis plus de 20 ans. Avec une équipe d'experts agréés et un service personnalisé, nous sommes le partenaire idéal pour authentifier, estimer et vendre vos œuvres d'art. Nos liens privilégiés avec les maisons de ventes aux enchères vous garantissent les meilleures solutions pour valoriser vos tableaux. Pour toute estimation ou conseil, contactez-nous dès maintenant via notre site ou par téléphone.
Comment sont déterminées les estimations gratuites délivrées par Artexpertise Paris ?
L'un de nos spécialistes en antiquités et objets d’art va estimer votre objet en le comparant dans un premier temps à des objets similaire déjà présentés et vendus dans une vente aux enchères en France. Puis avec l’ensemble des éléments fournis (nom de l’artiste, présence d’une signature, dimensions de l’oeuvre, état de conservation), nous pourrons analyser votre tableau, votre peinture, votre objet d’art et sous 48h, vous recevrez par mail une première estimation gratuite de vos objets d’art et de collection. Nos spécialistes ont bien évidemment une parfaite connaissance des mécanisme du marché de l’art.
Quel est le prix d'une estimation d'une peinture ou d’une œuvre d’art à Paris ?
L’estimation de vos tableaux et objets d’art est totalement gratuite mais il ne vous sera délivré aucun document écrit. Les valeurs communiquées sont donc indicatives et elles ne peuvent, en aucun cas, être reproduites, diffusées ou utilisées à toutes fins. D’autre part, cet avis est donné sous réserve d’une expertise visuelle des objets d’art concernés.
Comment vendre au meilleur prix des tableaux et des objets d’art à Paris ?
Artexpertise-Paris le leader en France de l'estimation d'oeuvres d'art en ligne depuis 2009 de se tient en permanence à votre disposition, pour expertiser gracieusement et en toute confidentialité les tableaux, sculptures, antiquites, objets d'arts et livres anciens que vous souhaitez vendre. Assisté d'une équipe d'experts spécialisés, il vous propose un service d'estimation personnalisé dans une vingtaine de spécialités et peut répondre chaque jours à toutes vos demandes en utilisant le formulaire en ligne de demande d'estimation gratuite. Après évaluation, nous vous proposerons une solution adaptée pour vendre vos tableaux, vos antiquités et vos objets d'art dans les meilleures conditions.
• Première étape : Demandez une estimation préalable de vos biens, d'après photographies ... Pour réaliser une estimation gratuite, veuillez utiliser le formulaire en ligne de demande d'estimation gratuite.
• Deuxième étape : Dépôt des oeuvres pour expertise approfondie. Si vous prenez la decision de nous confier à la ventes les objets estimés, une expertise visuelle s'impose, avant. Pour cela, il vous suffit de déposer les objets à notre bureau.
• Troisième étape : Mise en vente aux enchères de votre objet d'art et de collection. Une fois l'expertise réalisée, nous déterminons une date de vente, en fonction du calendier des ventes aux enchères à venir.
Copyright © Cabinet A.Marechal |
|
Résultats de nos dernières ventes aux enchères de tableaux et oeuvres d'art
|
Vous possédez un objet similaire ?
Demandez une estimation gratuite à nos experts - Réponse en 48h partout en France. |
|
|
PABLO PICASSO (1881-1973) Plat en argent repoussé
|
|
|
|
|
|
|
Adjugé
:
29 520 euros (frais inclus) |
|
|
|
|
Otto ZAPF (1931-2018) Paire de fauteuils en cuir Knoll ...
|
|
|
|
|
|
|
Adjugé
:
1 415 euros (frais inclus) |
|
|
|
|
Pierre Paulin Meuble Design
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
RENÉ LALIQUE (1860-1945) Source de la fontaine Telphuse
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Maurice de Vlaminck Huile sur toile
|
|
|
|
|
|
|
Adjugé
:
86.100 euros (frais inclus) |
|
|
|
|
Pierre SOULAGES (né en 1919) Lithographie N°20A. 1969.
|
|
|
|
|
|
|
Adjugé
:
22 755 euros (frais inclus) |
|
|
|
|
|
|
|
|
Roger CAPRON (1922-2006) Table basse |
|
|
|
|
|
Adjugé
:
4 300 euros (frais inclus)
|
|
|
|
|
Raoul Larche Sculpture en bronze doré |
|
|
|
|
|
Adjugé
:
20 200 euros (frais inclus)
|
|
|
|
|
ALPHONSE PROOST Huile sur toile |
|
|
|
|
|
Adjugé
:
Adjugé 22 140 euros (frais inclus)
|
|
|
|
|
Gonzalo CORDÓBA Designer & DUJO Cuba Éditeur |
|
|
|
|
|
Adjugé
:
3 700 euros (frais inclus)
|
|
|
|
|
|
|
|